Archives de Tag: autisme

Qu’est-ce qui fait bouger, qu’est-ce qui me fera voter?

Article de Sarah R. Champagne, Le Devoir

La volonté de Sarah était d’humaniser le dossier des élections scolaires…non pas parler de la structure, de programmes, de chiffres, mais bien des gens, du coeur et du moteur.

Qu’est-ce qui peut bien pousser des citoyens à s’engager dans pareil contexte?

Le ‪#‎2Novembre‬ 2014,
ce n’est ni un système, ni des machines que vous élirez mais des humains, des citoyens qui croient énormément au système public d’éducation, aux instances démocratiques et avec lesquels nous pouvons et devons tous garder contact!

Ma face est un peu intense sur la photo, j’en conviens, mais on a eu ben du fun, je vous assure, et on a même beaucoup rit!

Découvrez le dossier complet!

P.S Je les aime nos médias et nos journalistes indépendants!

Le Devoir

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POLITIQUEMENT SEXY

Mes couilles et moi avons décidé qu’on avait ce qu’il fallait pour rocker mon agenda de mono-maman-entrepreneur en passant de citoyenne-politico-poétique à un engagement réel dans la vie politique.


Les mains dans la bouette et la face sur une pancarte, je me lance.

Malgré les questionnements fort légitimes sur nos commissions scolaires et les fonctions qui y sont reliées, malgré la trouille qui me chicotte le bas du ventre (en fait c’est même principalement pour ça que je me lance), dans les deux prochains mois, je réaliserai ma première campagne électorale en me présentant au front comme commissaire scolaire dans Centre Sud.

ma face et le pad dge 2014 noir et blan


Politiquement sexy.

J’ai choisi de me présenter évidemment parce que c’est glamour et payant!
Parce que la commission scolaire est une institution estimée par les citoyens et le gouvernement.
Parce que le système d’éducation va bien & que la démocratie scolaire est TOP SHAPE. (7% de votes, c’est assez pour se péter les bretelles sur un mandat et prendre des décisions obscures en caucus fermé)

Je le fais aussi parce que le taux de réussite de nos enfants est élevé.
Que les profs ont tout ce qui leur faut dès le début de l’année scolaire.
Qu’on est assez responsables et intéressés collectivement à ce qui se passe dans nos écoles (les assemblées générales débordent d’enthousiastes)
Que notre ministre de l’éducation croit profondément au système public d’éducation
Et qu’on investit suffisamment dans le potentiel des enfants au cheminement atypique…

Je le fais parce que c’est politiquement et socialement sooo sexy! (Rrrreaally? o_O)


Sincèrement, j’alterne entre enthousiasme et excema sur l’oesophage.

Et malgré (tout) ça.
Je choisis de m’impliquer.
Sans cynisme (mine de rien) ni aspirations héroïques.

J’avance dans le processus avec un mélange d’arrogance et d’humilité.

Je le fais dans l’espoir de mettre mes forces en communications, intervention et réseautage au service des citoyens, des écoles. Je me lance en souhaitant contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des écoles en favorisant la collaboration entre les différents acteurs locaux.


Vous voterez peut-être!

Je sais que vous, vous et vous aussi sûrement, n’avez encore jamais voté aux élections scolaires.

Avant cette année, je m’en fichais pas mal en fait et l’effort fourni pour m’informer et encourager ma participation n’était pas très virulent…

Les moyens sont limités au scolaire et on ne sait que trop peu que TOUS les citoyens d’un arrondissement peuvent aller voter. Mine de rien, directement ou indirectement, nous payons tous les taxes scolaires qui servent à soutenir cette administration. En votant, on oriente l’action et on démontre que ce qui se trame dans nos écoles, on y veille et s’y intéresse.

Sincèrement, j’ai pas mal de croûtes à manger et j’ai faim 😉
Et je serai ravie si je suis obligée de répondre à vos questions. Il me fera plaisir que mes idées soient confrontées de manière intelligente et constructive (on peut rêver!). Travailler en politique c’est, à mon sens, avoir une vision pour sa communauté tout en acceptant de la confronter à celles des autres et surtout de travailler avec les gens.

Je ne m’implique pas pour le pouvoir (parce qu’un commissaire en a pas tant que ça tout seul!)
Je m’implique dans la foulée de mon engagement dans le milieu de l’éducation (Mon fils, Sur le Fil et Manifeste) un peu par la force des choses…parce que je crois sincèrement qu’ensemble on peut remuer assez pour faire émerger le meilleur et surtout parce que je sais que c’est nécessaire.


Le 2 novembre, cette année, vous ferez peut-être différemment…

Maël debout dans le soleil


P.S

Si jamais vous avez envie de m’offrir câlins, gardiennage, bouteille de vin, massothérapie ou adjointe administrative. Je n’émets pas de reçu (sauf pour des dons à mon engagement politique 😉 , mais je peux vous frencher avec beaucoup de gratitude…

(Je le concède cette fin de pitch est douteuse, mais oh! Combien attachante! Hum?)

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LE HÉRO À LA GOUGOUNE

LE HÉRO À LA GOUGOUNE

Fils I a un spring dans le coude.

Ainsi, de manière parfaitement impulsive, il lance!

TOUT est un projectile & tous les lieux (les plus wild et les moins accessibles sont ses préférés!) sont des cibles.

Régulièrement donc, nous nous retrouvons face à une laveuse qui cache des restes de pizz, des clés dans le bac de recyclage, des bobettes volantes ou un déo dans le four (1 mois à bouffer des p’tits plats qui goûtaient la fleur mauve!

Cette caractéristique circassienne de ma progéniture m’a appris, non seulement à aiguiser mes réflexes de catcher et à utiliser tous mes membres simultanément, mais aussi à déplacer des électros sans me blesser, me faufiler dans des interstices miniatures, escalader des parois bancales entre deux cabanons, devenir amis avec les voisins de tooooous mes amis ou encore plus récemment: Aller pic niquer avec un escabeau…

À la piscine municipale, par une très estivale journée fériée, fils I tira, d’un swing assez juste ma foi, sa sandale sur la capine de la cabane!
Non. L’angle ne nous porta pas secours…

Après consultation du staff en place, nous arrivâmes à la conclusion: Pour récupérer la dite sandale avant trois ans: Il nous fallait un escabeau « privé »

C’est là que JP devient: Le HÉROOO de la gougoune…
Et sous les rires d’un trio d’adultes la sandale retrouva son propriétaire…(jusqu’à ce que…m’enfin…)

La morale du récit?

Il n’y a jamais trop de stock de réno dans votre char quand vous venez pic-niquer avec mes fils et moi + ne sous-estimez JAMAIS le potentiel de tir d’un kid autiste de 7 ans. + J’ai vraiment de bons amis! 😀

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LA NEURODIVERSITÉ

La neurodiversité désigne la variabilité neurologique.
Elle admet la réalisation, le vécu simultané de plusieurs modes de fonctionnements neurologiques chez l’humain.

La neurodiversité abonde dans ce sens: il n’y a pas qu’une seule façon d’être un être humain!
Sur le Fil reconnaît cette richesse, supporte et encourage la neurodiversité!

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L’ambition au service de la communauté

J’ai une foi inébranlable envers nos possibles. Je suis têtue et optimiste.
(Ferme tes yeux & jure Oh! Toi joli cynique! Car, si je te rencontre, je te trouverai sûrement des qualités.  Je verrai peut-être même celles que tu as enfouis pour avoir l’air plus tough.)

À se frotter les uns aux autres, on se confronte, on choisit, on évolue.
Souvent, un peu d’influence positive suffit pour avoir envie d’en générer…

On retient souvent les coups bas. On transforme les erreurs en tragédies et on abdique devant l’ardeur à investir pour émerger d’une situation trouble. À chaque taloche son opportunité.
Rock it peanut!

La tête dans la bouette, tourner un œil vers le soleil permet de voir les ombres qui traînassent tout près et qui tendent la main…hésitantes parfois, mais volontaires. Laisser râler son égo sans lui faire de courbettes, garder la foi (dans son état le plus brut et souple), permet de relever la tête. Chaque fois. Tendre le bras. Respirer un coup et reprendre la route…avec un peu d’imagination, les souvenirs bouetteux font une fort jolie moustache et de quoi générer du récit dans le détour…

Nous sommes des petits contes, sur la time line d’une grande histoire…

Bref, samedi: Jour de farniente et de festivités (bah!)…nous aurions pu être en congé. Mais en tant qu’électrons motivés, une amie commune nous a réunis à la croisée d’un chemin et nous nous sommes offert notre samedi matin.

J’ai eu la joie, en plein jour de soleil intermittent, de rencontrer un être passionné et déterminé à collaborer pour le mieux-être d’autrui; un nouvel allié de taille dans la cause de l’autisme!

Jérémie Bilodeau et son équipe adorable de La Capital Prestige.

Jérémie a la caractéristique de s’être créé et de se réinventer à la mitaine.
Gossé dans le brut et la détermination. Pas de statut quo. Pas de paresse.

Après des chutes importantes, une carrière lumineuse, il a daté son égo, rencontré l’humilité et fait des choix en cohérence avec ses valeurs, ses passions. Le magnifique est partout. Il n’a pas de titre, de diplôme, pas de voie tracée. Il vient du coeur. Du fond. Il carbure à l’audace.

Une première collaboration est née entre Jérémie et moi afin de réaliser le Méga Week-End de Lanaudière au mois de juillet.
Tous les fonds amassés durant cet événement seront remis aux familles évoluant avec un enfant autiste.

Merci Jérémie de croire en nos enfants, d’investir autant de ressources et toute ton armée du cœur pour réaliser un événement familial et sportif d’envergure.

Vous, pour nourrir les possibles, commencez ici: MÉGA WEEK-END
On se revoit les 5-6 juillet 2014 😉

méga week-end

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Tout cuit! La page web temporaire de Sur le Fil

Énorme merci à l’équipe de Akufen, atelier créatif pour la création du site web de Sur le Fil. En attendant le lancement de la fondation et la mise en ligne du site complet, voici la page temporaire!

Il est désormais possible de soutenir notre mission en donnant en ligne!

Capture du 2014-03-17 12:00:26

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Un petit pas vers de grands objectifs!

Le Cabaret, organisé par le Groupe en Fête et Sylvain Dubé, au profit de Sur le Fil,
a permis d’amasser une somme brute de 3250$.

Grâce aux personnes présentes, à Groupe en Fête et aux donateurs, notre très jeune fondation fait un petit pas dans la direction de ses grandes ambitions. Un premier montant sera donc, d’ores et déjà, alloué au projet pilote de la fondation et aux services offerts à notre premier bénéficiaire, Maël, joyeux petit frisé autiste de 6 ans.

MERCI! MERCI! MERCI!

On vous retrouve au printemps pour un autre événement, dans une formule complètement différente!

Pour ceux qui aimeraient donner à la fondation, la première phase de notre site web sera active dès décembre et les dons en ligne seront alors possibles!

Annick, présidente fondatrice  ++ le C.A  de _Sur_le_Fil_

 

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L’ACCUEIL

MISE EN BABINES:

Fils I est autiste.
Ce n’est ni une fatalité, ni une maladie. Je ne suis pas courageuse. Je suis maman c’est tout (oui c’est vrai, parfois c’est beaucoup!) Comme vous (ou pas).

Et j’aime.

C’est cliché, mais inconditionnel.

Dès la naissance, alors qu’il faut apprendre à nous connaître et tisser la relation, on doit aussi apprendre à faire de la différenciation, éviter la comparaison et à se détacher.

Cet être porte son bagage.

Indépendamment de mes volontés. Je peux inspirer certes, mais je ne peux ni vouloir, ni être pour lui. Surtout je ne peux pas tirer sur sa fleur…même si ça démange.

J’agis donc, inspirée par ce grand vent qui me secoue, pour semer du possible et donner les outils à mon fils pour qu’il continue de faire briller sa vie. J’apprends, à travers nos périples, à être. Là. Maintenant. Une étape à la fois.

Fil-of-life-1

Je suis reconnaissante et j’évolue, dans un équilibre fragile, empreinte de gratitude. Ce n’est pas un plan de vie, ni une morale, c’est un choix, un muscle que je développe et sur lequel j’investis de l’énergie…même en pleurant.

Alors que souvent nous sommes confrontées aux jugements des autres, que plusieurs familles se referment sur elles, ravagées par des odieux, je sens, une énergie contraire. À travers mon fils, et le pèlerinage pour apprendre à grandir avec ses caractéristiques, je vis la plus belle de mes quêtes et la plus lumineuse de mes rencontres avec l’humain.

***

C’EST PAS SÉRIEUX?

Je ne crois pas aux fées. Je sais qu’elles existent.

Je suis née avec et je ne l’ai jamais lâchée; Si j’ai la foi.
Elle ne porte ni nom, ni robe, ne dicte, ni ne prédit. Elle relève ma tête quand elle prend froid et me pousse chaque fois, dans les bras des inconnus qui la nourrissent à nouveau.

Le 4 septembre 2013, un an après nos premiers pas en milieu scolaire, auprès de la Rose, alors que mon bouclé et mon dragon dormaient sans l’ombre de mes doutes, j’ai rencontré, fébrile, les parents des enfants-fées.

Les enfants-fées sont reconnaissables. Ils se manifestent avec toute la fougue qu’on imagine et l’audace spontanée qu’on leur attribue.

Ils trouvent des solutions créatives à des situations malaisantes. Ils argumentent les maladresses et démontrent aux plus grands la valeur de la différence. Là où certains résument l’être à un handicap, les enfants-fées sautillent jusqu’au coeur pour découvrir l’ami, coincé dans ce petit corps incontrôlable.

À travers des lunettes brisées il pardonnent un câlin griffu, se réjouissent d’un progrès subtil et perçoivent le potentiel immense d’un verbe flou. Ils apprennent la langue des voyageurs et à défaut, ils en inventent.

Charlie-Philippe-Chaplin, Maël sorcière-rouge, Ced le clown à grande bouche, Raph le pirate et les fées Olivia et Nora

Les enfants fées mettent au monde des adultes au cœur immense.

Certes, sur mon chemin, je croise encore certaines furies. Désormais (presque) sourde aux beuglantes, j’avance. Main dans la main avec mon voyageur. Candide peut-être, malgré les y’en a marre et les raz de marées, je persiste. La volonté en boule dans ma sacoche, entre 32 dossiers sérieux, lucide, je crois au meilleur des Hommes.

Alors que la rentrée est un moment ardu (horrible) avec notre fils, des dizaines de petites et de grandes mains s’ouvrent, des sourires dessinent des visages lumineux et transforment nos vies en comptines et en petites victoires. Dans le regard attentif de dizaines d’adultes, tous différents et fiers, j’ai vu le désir d’apprendre, de ne rien prendre pour acquis et d’aimer. J’ai perçu là, l’envie sincère d’accueillir notre impromptu en chérissant ce non-secret-de-parent: le merveilleux existe et il l’attend lui aussi, là, exactement, où il se trouve.

Vite de même: Je suis un pamplemousse reconnaissant!

Ce n’est pas tout de donner la vie, encore faut-il lui donner le goût de se révéler aussi belle que l’on espère….

À vous: Merci! 

doigts en coeur

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Quand il faut défendre le droit d’exister, on est loin d’un projet d’inclusion!

Il faut être inhumain pour dénier les droits, la valeur d’un être.
Il faut être fou pour suggérer à une famille de tuer un enfant différent.

Pourtant, cette lettre, reçue par la grand-maman d’un enfant autiste est immonde.
(L’article: Déménagez ou Euthanasiez votre petit fils)

Il va de soi que nous ne devrions pas avoir à défendre le droit d’exister.
Il est assurément injuste et injustifiable de devoir argumenter tous les jours les droits des enfants différents à apprendre, évoluer, vivre dans le contexte qui convient le mieux aux valeurs de la famille.

Pourtant, tous les jours. Nous devons nous battre. Pour la reconnaissance, les services, le respect, la tolérance.

En suivant la logique de l’anonyme-monstrueuse et de ces propos insidieux qui se répandent au détour d’une ballade en transport en commun ou d’une rangée trop lumineuse à l’épicerie, créons ce monde parfait.

**

Vive la barbarie!
Tuons la différence!

Chaque jour, le moins performant, le moins sociablement acceptable,  devra être tué.

Pas assez vite?
Pas assez lisse?
Pas assez beau?
Pas assez blond?
Pas assez sociable?
Trop bruyant? Trop bavard? Trop créatif?
Génial et maladroit?
Trop sportif? Trop sensible? Pas assez marié? Pas assez payant?

Tuons-le!
Jusqu’à qu’il n’en reste qu’un seul…fier et performant.
Seul et monstrueux.

Osons faire de notre société un espace lisse, indifférent et in-différentiable…une hégémonie solitaire érigée sur les valeurs essentielles d’une belle race aryenne centrée sur elle même qui ne se questionne plus et qui performe…

Répétons sans cesse les erreurs du passé et surtout évitons le pire: le péril de l’amour avec et malgré la différence.

**

Si on évalue le poisson à sa capacité de grimper, il perdra toujours la face…
J’avance avec comme moteur, cette utopie d’inclusion…

Offrons-nous la chance comme société de découvrir les forces puisées à même le défi.

2013. Il semble peut-être évident que nous devrions être inclusifs. Naturellement. Mais la bataille est loin d’être gagnée.

Chaque fois que vous croiserez une dame avec une poussette tumultueuse, que vous verrez le corps d’un enfant-bacon danser sur le trottoir, qu’un cri indécent croisera le fer avec le contenu audio de votre IPOD, qu’un papa essaiera délicatement de sortir d’une salle de spectacle avec un mi-enfant-mi-oiseau qui flap l’invisible; souriez.
Au mieux demandez «aimeriez-vous avoir de l’aide». Sinon, souriez.

Nous soupirons. Nous pleurons. Nous rêvons. Nous osons. Nous regrettons. Nous apprenons. Les coups nous les recevons de l’intérieur et souvent de nos enfants. Les cris, nous les entendons aussi.

Et c’est le coeur immense et volontaire que malgré tout, nous poursuivons la route, la tête droite et le corps en larmes, parfois, tellement fiers de nos enfants.

Image de l'organisme TED-TSA Sans Frontière

Image de l’organisme TED-TSA Sans Frontière

Rien n’est acquis,  et je rêve:  Sur le Fil, Fondation pour l’Inclusion,

 

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Perception: Le «handicap» est une force!

Il faut confirmer les personnes différentes dans leurs spécificités.
Pourquoi vouloir tout «normaliser»? Pour faire partie de la moyenne? Quelle est la valeur de cette moyenne?
Pourquoi rêver de devenir ce que nous ne sommes pas plutôt que d’espérer devenir maximal, intègre, total?

Nous croyons qu’il faille transformer les handicaps en avantages. Pour que ceci soit possible, il prime de changer notre perception commune face aux défis, aux handicaps et à la différence!

Une personne qui évolue avec un handicap est un être d’une grande force. Elle réalise, tous les jours, les même gestes que nous avec des défis supplémentaires. Elle récidive et persévère.

S’ouvrir et constater la réalité telle qu’elle est.
Oser et établir un dialogue sans transfert de perceptions.
Construire une relation sans porter nos intentions est un pari houleux fort enrichissant.

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Merci de nous rappeler que notre individualité, notre audace mérite d’être entendue.
Lecture légère et intelligente pour enrichir vos vacances: L’Ultime Secret, Bernard Weber

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