Archives de Catégorie: Développement durable

Caractère Gras. La face dans mes vidanges.

Hochelag.
J’habite un quartier que j’aime. C’est presque trop.
C’est une histoire d’amour qui date depuis l’enfance.

J’ai grandit avec lui. On me l’a déraciné et j’y suis revenue créer des projets, des enfants, des liens. Au grand dam de mon papa qui, l’ayant vécu tout autrement, espérait fort que je me tienne loin du malfamé…

Avec sa face louche, son inconstance et ses coins imparfaits, je regarde les êtres qui le constituent et je le trouve beau, solidaire et volontaire.

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Photo. Annick Daigneault

Ainsi, quand on lui met des épines dans le pieds, ça m’agite et je trépigne dans mes bottines.

Dans la dernière année, on a coupé dans la cueillette des ordures.
Un geste qui peut avoir l’air banal, certes et a-poétique…
Mais, qui en impose!

En contrepartie, l’arrondissement n’a rien investit pour pallier à cette cueillette qui, pardonnez mon manque de considération économique, était tout sauf, à ce moment sur la ligne du temps, accessoire. Du moins, ici dans les pays d’l’est!

Considérant la réalité d’Hochelaga, son historique & l’état dans lequel le quartier se trouvait avant même que l’on réduise les cueillettes d’ordures à une seule, considérant aussi et surtout qu’aucune alternative n’a été mise en place en amont pour pallier à ce nouveau défi collectif (compost, cueillette alternative pour groupe de logements, sensibilisation accrue, augmentation du nombre et du volume des poubelles et/ou trio, brigade verte), je me questionne sur la valeur de ce choix.

À qui cela profite t’il?
Pourquoi persévérer dans cette voie?

Expérience personnelle :

À la coopérative Station No I, bien que tout ne soit pas parfait, nous avons tout fait pour réduire nos déchets :
Mise en place d’un comité vert. Compost/Recyclage et activités de sensibilisation environnementales avec Eco quartier, vente de garage…

Malgré tout, l’état des lieux demeure souvent assez pitoyable…

Ainsi, cet été, croulant dans le jus de mouches, nous avons téléphoné à l’arrondissement afin de valider avec eux la possibilité de bénéficier d’une aide exceptionnelle pour gérer nos indésirables et éviter les amoncellements spectaculaires récidivistes.

La réponse offerte : Tournez-vous vers le privé.
Pérdon!?

Facile! Il ne suffit que d’investir 350$/mois soit, 4200$ par année pour se sortir de la marde.

Avez-vous les moyens de vivre dans un quartier propre? Non? Too bad! Apprenez à vivre en harmonie dans vos résidus.

Les citoyens paient pour des services qui sont de plus en plus…résumés.
En acceptant chaque fois sans broncher de nous tourner vers le privé (ordures, écoles, santé…)
Que restera t’il de nos services publics?

Pourquoi nos leader adoptent-ils de nouvelles stratégies sans organiser l’alternative et pourquoi tolérer cette déresponsabilisation?

Nous sommes plusieurs citoyens à espérer le meilleur localement et à nous activer afin de faire de notre quartier un village accueillant.
Est-ce que je pousse ma luck si je rêve de le faire avec les élus de notre bord?

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Bed and Bonheur

TOURISME DURABLE. SLOW FOOD. CULTURE & GROS BONHEUR

Pendant la résurrection de Jésus j’étais là:

la maison de ville magog

Dans un rayon de lumière qui fait valser des pépites, étendue, comme une princesse molle dans une baignoire sur pattes, à préparer mon mental au spectacle (l’incroyable et magique spectacle devrais-je écrire!!) de Patrick Watson au Vieux Clocher…
Béate de bonheur.

La Maison de Ville, Bed and Bistro, située au coeur de Magog, est un must si vous aimez:

– Un accueil chaleureux, personnalisé: Dès notre arrivée, Simon Beaupré, (adorable, jasant, dynamique et attachant propriétaire, chef, designer, cuisinier, homme de chambre…) nous reçoit avec une joie sincère.

simon, propriétaire de la maison de ville magog

– Les petits endroits qui permettent d’aller à la rencontre des autres tout en préservant l’intimité de chacun…Nous avons commencé notre repas dans une bulle gourmande de lover…et nous avons fini notre soirée en partageant notre Clos Saragnat avec l’un des 3 autres couples logeant dans la petite et accueillante maison de Simon, en hurlant de rire dans la salle à manger.

– La cuisine de qualité, créative, gourmande, locale, adaptée aux saisons et aux produits disponibles; J’ai bouffé à m’en faire péter le bid!

– Les attentions spéciales valorisant les commerces de proximité et les entrepreneurs locaux: Le petit savon dans la baignoire provenait de la Savonnerie des Diligence à Eastman (miam!)

 – Les chambres qui n’exposent pas d’oeuvre en mélamine louche encadrée dans de la dorure ou qui semblent appartenir à l’époque des Rescapés…et dont la déco & le confort, au contraire, ravissent!

la-maison-de-ville-bed and bistro

Ainsi, bien que je n’oeuvre pas à développer ma plume de «critique d’établissements» je partage avec enthousiasme quand il s’agit de souligner le travail de petites entreprises, d’artisans/artistes ou d’organismes qui se démarquent par leurs valeurs, leur rigueur et leur cohérence.
Vous devinerez que je voyage en général à mon image en favorisant la rencontre et que j’apprécie particulièrement l’engagement d’entrepreneurs solidaires qui forgent leur réputation à coup de qualité, de talents et de générosité.

Faire rimer petit lieu avec envergure est un pari réussi dans le cas de la Maison de Ville!
Cette façon de faire des affaires s’inscrit dans une démarche durable, riche et humaine, me charme et m’inspire. Simplement.

Ruez-vous!

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Le destin de la Promenade Luc Larivée

Une chronique d’Hochelag…

Comme le destin de la promenade Luc Larivée (la suite vers l’est de la place Valois) inquiétait plusieurs citoyens, j’ai cru bon d’oser et d’aller à la source.
J’ai donc contacté les élus qui ont été tout à fait ouverts à mes questions et qui ont pris soin d’y répondre avec sérieux et engagement.

Place Valois vers l'est, promenade Luc Larivée

Je vous rappelle, la promenade Luc Larivée est un espace public.

La cours de la Coop Station No I, dans laquelle je réside, est attenante à ce lieu au potentiel certain. Comme nous voyons cet espace tous les jours, nous sommes sensibles à son sort mais n’avons aucun droit ou lien de plus que vous avec ce terrain.

Nous n’avons été qu’un «start up» et nous faisons simplement preuve de vigilance et d’engagement en tant que citoyens.

Ainsi, pour honorer le temps que Monsieur Réal Ménard a pris pour répondre à nos questions et parce que l’information que j’ai reçue est d’intérêt public, je vous partage, avec joie, ce que l’on m’a confirmé lors de la rencontre avec M.Ménard et lors d’un échange téléphonique avec M.Laurent Blanchard.

1) Le stationnement de fortune sera bientôt chose du passé et il sera fermé aux voitures dès la fin du printemps.

2) La suite de la promenade sera réalisée en 2013 (entre septembre et novembre)

3) Ils porteront une attention particulière à l’adaptabilité pour les personnes à mobilité réduite

4) Ils sont ouverts à ce qu’un groupe de citoyens participent à une séance d’info pour voir la possibilité d’une mise en valeur de l’espace public par les citoyens

5) Une analyse de la sécurité pour en faire une traverse piétonnière, soit une réelle promenade peut aussi être réalisée. (On veut ça entk!! Espérons!! J’espère en public chers élus)

Il est juste de demeurer critique et exigeant envers le travail de nos élus.
Je suis aussi d’avis que comme pour n’importe quel être humain, il est aussi important d’être juste et de partager les bons coups et les intentions inspirantes.

Je suis de nature optimiste. Que voulez-vous…

Sans faire preuve de partisanerie et sans égard pour mes allégeances politiques, je souhaite donc témoigner ma reconnaissance comme citoyenne envers le temps que l’on a consacré à mes inquiétudes et l’engagement dont ils font preuve dans ce dossier.

Je souhaite le meilleur pour notre quartier…plus propre, plus vert, sécuritaire, familial et piétonnier 🙂

yep!

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Consommation responsable: Une semaine sans Conso Ze VidéO!!

Une semaine sans consommer!! Mais pourquoi? Mais est-ce possible?
Vous en doutez?
Vous croyez que vous êtes au dessus des tentations et vraiment raisonnables?
Vivez le défi à travers les témoignages de Daisy Delobelle du BnB Couette et Chocolat et de Sophie Marchand de l’Intercom…
participantes au challenge et vrrrraiment honnêtes dans leurs feed back!

Une sympathique réflexion sur notre manière de consommer…
de se percevoir comme citoyen-consommateur…

COnceRnAnt le lien:

N’est-ce pas que vous préféreriez un cliquable qui vous ferait voyager jusqu’à la fameuse capsule…
Mais voilà tout ce que j’ai technologiquement à vous offrir:

http://ecotrip.qc.ca/webtv/?v=0F6GU-YcpVQ

Oui! pour visionner la capsule happy happy joy joy tournée par Ecotrip OBNL, du défi: Une semaine sans consommation, né lors de l’événement Eco design vs green washing de juin dernier, vous devrez (ingrate et fort débutante su’l pitonage du genre) COPIER COLLER ce lien!!!

Bon visionnement!
Au plaisir de vous compter parmi nous lors du prochain événement et surtout lors du prochain défi 😉

Vos commentaires; On veut vos Commentaires!!!

http://ecotrip.qc.ca/webtv/?v=0F6GU-YcpVQ

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C’que laisse comme traces: Eco Design vs Green Washing

L’événement du 22juin, Eco Design vs Green Washing,
Produit par Productions Synodik, en collaboration avec Resto-Bar le Diable à Quatre & Design Eco.ca a soulevé des questions, des doutes et généré des conversations animées.

Les très pertinents panelistes:
Julie Désormaux, Daisy Delobelle, Martin G.Morin et Jenny Bell
ont donné envie de pousser dans le sens de la « révolution » ;)…tranquille…

Certains auraient voulu plus…de débats et de fougue, de concret ou d’échanges avec les invités présents…

Or, il fallait semer. En 1heure!!
En un panel. Un événement!! A-t-on répondu à toutes les questions? Changé le monde? Créé une norme ou un regroupement officiel?
Neni!
Le but était de valider l’intérêt et surtout échanger pour comprendre où nous nous situons tous face au thème, quels sont les besoins…

La période étant achalandée au coté événements, une quarantaine de personnes étaient présentes, dans l’espace (hoooot!) de la CENNE, sur une centaine de personnes ayant sincèrement manifesté leur envie d’y être et souhaitant un suivi.

Peu importe. L’énergie y était (la chaleur aussi) et les gens présents étaient fort charmants, intéressés et dynamiques!

Alors.
Oui. Le thème titille!
Oui. Nous récidiverons.

Voici, grosso modo, ce qui en ressorti:

L’éco design est une pratique non utopique du design qui tend à permettre à la fois aux créateurs de vivre de leur passion, aux gens de consommer selon leurs besoins, valeurs et envie, tout en minimisant l’impact de création, production, promotion etc. sur l’environnement et en maximisant l’impact positif sur la communauté.

Nous polluons, même en dormant, ainsi, nous sommes conscients de nos limites.

L’objet le plus eco est celui qui n’est pas produit…(ouch! Oui, il faut se poser la question a-t-on besoin de produire ceci et a-t-on besoin d’acheter cela…)

L’idéal à atteindre est la transparence!
Failles et forces se doivent d’être assumées, nommons les « vraies affaires » et définissons ce que nous appelons « Éco » dans notre pratique.

Le GREEN WASHING ???

Le green washing est un manque de transparence. C’est l’art de verdir son image par des stratégies marketing qui valorisent quelques aspects « verts » d’un produit ou une pratique en minimisant les aspects nocifs ou en détournant l’attention de certains aspects du cycle de vie de celui-ci…(sa provenance, les conditions de production, sa décomposition etc.
les ampoules « fluo compactes » ont été citées en « mauvais exemple »)

Vendre vert sans être surs de pouvoir le défendre, ne fournir aucune preuve de l’engagement écologique, ne pas détailler sa pratique et ou son produit, présenter des produits non écologiques dans des contextes « sous entendant le contraire » c’est green washer!

La CERTIFICATION dans tout ça??

Douleur. Oui. Non.

Selon Jenny Bell , Nonante Communications et du Réseau Québécois des Femmes en Environnement et Daisy Delobelle experte en certification et normes ISO, accompagnement d’entreprises lors des audits en France et Belgique et BnB Couette et Chocolat, la certification est un processus lourd nécessitant beaucoup de compromis et permettant peu de nuances.

Idéale car cela permettrait au public de « savoir » qui œuvre selon des normes rigoureuses et baliserait la pratique.

Toutefois, les audits étant toujours dispendieux, certains artisans ne pourraient jamais être « certifiés » ce qui biaiserait la réalité de la diversité et sincérité de l’offre tout en résumant le marché éco aux plus « gros » joueurs.

POURQUOI alors vouloir se certifier?

La tendance « verte » se fait de plus en plus pressante.
Les certifications rassurent et celles-ci pourront même rapidement un jour être exigées pour « transiger » hors Québec, avec le gouvernement ou pour obtenir du financement et avoir l’appui de partenaires.

De plus, le public est de plus en plus exigeant, informé et cherche la transparence, la vérité.

Acheter local, acheter bio, éco…en tant que consommateurs, si on y investit énergie et argent et si l’on choisi cette voie par conviction et positionnement, on veut être certains de la rigueur du produit…

Et oui :
Le terme est présentement sur-utilisé et pas toujours à bon escient…ce qui rend fort confus (et frustrés tant pour les consommateurs que pour ceux qui bûchent pour être réellement éco!)

Y a t’il une solution, une ALTERNATIVE??

Ce qui fût proposé à la suite de ces réflexions.
D’autres événements.
Débats.
Cercle d’échanges de trucs sur les matériaux, les techniques

Création d’une charte, d’un guide, un regroupement officiel…
Et surtout, l’importance d’agir collectivement.

D’autres actions, réflexions similaires sont en cours ailleurs…
fouinons du coté
Graphistes du Québec, Pact, Réseau Québécois des Femmes en environnement…bref, il faut éviter de « ghetto-iser » la pratique et nos idéaux!

COMMENT est-ce POSSIBLE?

Il faut OSER
Se rencontrer, réseauter, se solidariser.
Définir, délaisser, dénoncer, refuser, choisir.

Surtout, il faut faire RAYONNER LES PRATIQUES EXEMPLAIRES!

Nommez vos bons coups. Mentionnez votre degré d’engagement. Décrivez-vos pratiques clairement. Soyons différents, Marketons « à poils »

Vous avez des suggestions pour contribuer à la reconnaissance, pour définir votre pratique?
Vous aimeriez être informés?
Vous aimeriez agir?
Faites-le!! 😉
Mais tenez nous au courant bordel!!!

ÉCRIVEZ-NOUS
Nous le ferons aussi 😉
missd@synodik.com

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Ils y étaient: Événement Éco Design vs Green Washing

http://qtrial.qualtrics.com/SE?SID=SV_9nmg1iwVKNJu2gs

Copiez et collez ce lien pour faire valoir votre opinion, vos idées pour la suite des choses.

Qui était présent?

Aurelie Éco, Blog design-eco.ca
Cédrik Reinhardt, Taverne Urbaine, Le Diable à Quatre
Claudia Mercier, Philanthropie, Dons corpo et individuels OSM
Daisy Delobelle, Fénomène, BnB Couette et chocolat,
Delphine Devaux. Communications FTA, bénévole
Duo Eco Trip Audrée Favreau Eco Trip,
Duo Eco trip Mathieu Paradis Eco Trip,
Éloise Rail Boutique Art en Soi et Artiste
Émilie Folie-Bovin, Journaliste DEVOIR
Etienne, Respecterre
Gaëlle Alongé, Graphisme et design Durable Hépacq
MariePier Otis, Globber Tv
Élisa Giroux, D+Architectural
Michel Nadeau, El Naturalista
Pascale N.Viau , Soap
Sophie Guillemette, SOAP
Henri, Trace ta route
Sophie Marchand, Intercom
Francis, Intercom
Jenny Bell, Nonante Communications et RQFE
Julie Désormaux, E-motivatrice, Design-Eco.ca
Julie Dufour, Communication et Design-Eco.ca
Kathia Gitkow, Ada-Jito
Lise-Anne Marquis, Conscience Verte
Manon, Smop S.O.S
Margerie Gagnon, Ébénisterie
Catherine Lafortune « Rencontres, échanges créations eco
François, architecture
Chloé Desjardins, Boutique 4éléments
Marie-Soleil Thellen, Boutique 4élements
Martin Lefebvre, Service, animation, ébénisterie
Michel G.Morin , 3REco
Music For Money, Band invité
Odile Beauchemin, Gérante d’artiste, philanthropie
Robert Polka, Passeport Éco

Vous y étiez et votre nom n’apparait pas? Faites signe

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Défi 1semaine sans consommation: du 28juin au 3juillet

Cliquez l’onglet: Défi 1semaine sans consommation pour tous les détails

OSEZ LE DÉFI!!! 1SEMAINE SANS CONSOMMER!

Fonctionnement :

Concentrez-vous sur l’essentiel, la base de votre « pyramide de Maslow »
Répertoriez-tout ce que vous consommer
Résumez-nous vos observations, vos défis, frustrations, réussites, votre expérience bref!

Vous ne serez en aucun cas jugés sur vos performances!
Cet exercice en est un de réflexion, d’action tranquille!!

Envoyez vos coordonnées à : missd@synodik.com
Et écrivez vos témoignages en guise de commentaires sur le blog.

À GAGNER :

UN TOURNAGE AVEC ÉCOTRIP, WEB TÉLÉ.
2témoignages seront tirés au hasard parmi les participants dans la semaine du 3juillet
Et surtout, beaucoup d’estime et une amélioration de vos habitudes

Allez! Zou! Semons du possible!!

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Being Miss D lors du r-v des entrepreneurs sociaux de l’INM

D’abord un brin de wording dans le sens de ‘on s’entend tu qu’on se comprend tu?’
Oui! Parlons le même langage!

? Qu’est-ce que l’entreprenariat social?

! La mienne:
C’est une vision plus holistique de l’entreprenariat, une approche intégrée, valorisant l’aspect durable, engagé de chaque initiative prise par l’entreprise qui peut-être de toutes natures!
Au delà de son statut, l’entreprise est ‘sociale’ dans sa mission, ses valeurs, sa conscience et son impact dans sa communauté, son environnement, sa façon de gérer ses employés, choisir ses batailles et la manière dont elle répond au système en place.

! Celle des autres:
Les entreprises sociales rejoignent les principes d’économie solidaire.
Les entrepreneurs sociaux portent des solutions innovantes à des problèmes de la société en valorisant la conciliation économique et sociale dans une perspective globale. Ils œuvrent en fonction d’instaurer un changement durable en concentrant leurs efforts autrement que sur le capital et la rentabilité.

? Et vous en pensez quoi ?

***

Et la journée dans tout ça?

Après avoir découvert des modèles de succès dans l’entreprenariat social (l’Accorderie, Communauto, les CPE…) nous avons participé à un forum ouvert…
Forum dont les thèmes sont générés en grrraaand groupe et qui valorise un brin de chaos (aaaah! mon élément…enfin pas un vrai de vrai, juste moins de structure, plus de liberté, beaucoup de propositions)

Yahou! Nous avons échangé sur le financement, le rapport au privé et tenté de trouver des formules gagnantes de financement.
La double entité des entreprises (OBNL vs OBL) fût mentionnée pour répondre à ce besoin et favoriser l’essor et la survie des entreprises sociales, l’urgent besoin de reconnaissance, de valorisation et d’appui de cette forme d’entreprenariat et la nécessité de se mettre en commun pour bonifier nos initiative, diminuer nos frais, augmenter notre impact!!

Eh! Ben!
Ça se retrouve en tout! Même besoins, même défis, même visions…
Non ça ne vous rappelle rien?
Enfin…

Lunch.

Nous avions ensuite des ateliers spécialisés…
Le dynamique et enthousiasmant Francis Marin, afin de nous initier au Branding/la marque nous a mis au défi de rétablir une marque en déficit d’amour.
S’en suivait un atelier lié aux ressources humaines fort…hum! dynamique…
La réalité des entrepreneurs sociaux n’étant pas toujours liée à celle des entreprises privées, ceux-ci ont réagi vivement à certains propos livrés par notre invité…
Constructif et vigoureux…

Le tout se terminait par une séance de RÉSEAUTAGE!
Que j’adore (mais de laquelle j’ai dûe fuiiiiiire, zut!)
Là entre en scène…tout l’art de l’écoute et du résumé!

L’élevator pitch!
Vous connaissez?
L’art du 15-30secondes…
Pas évident…
Malgré mon grand plaisir à réseauter.
J’avoue humblement devoir encore et encore pratiquer la maîtrise du mot clé…

Enfin.

J’y garde un fichu bon souvenir, quelques contacts, beaucoup d’inspiration et une envie folle de cotôyer à nouveau ces gens qui oeuvrent chaque jour à façonner le sourire et le mieux-être du monde dans lequel nous évoluons!

Au grand plaisir de collaborer et de construire avec vous…

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Une virée Gainzbarienne un brin glammmmouuuur!

Peu de mots suffisent pour définir la vibe du Gainzbar.
Rouge, tamisé, chaleureux…
Ce lieu est le résultat d’un arrimage charmant de trouvailles qui ont vécu avant qu’on ne tripe sur Boy George et qu’on ne se «gaufre le toupet» !

Créatif, retapé, réutilisé, inspirant…et estival avant le temps, sangria exceptionnellement trop abordable…

DJ Funky Falz
Au Bosco Breton vous gave
Créations MF wowifiée!

et nous, nous sommes partantes pour une première d’une longue série (esperamos!) de mobilisations du milieu du design éthique et entrepreneurs éco-créatifs!

Plus que 30 240 minutes avant l’événement…

Miss D
missd@synodik.com

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